La guerre est ouverte. Les médias traditionnels n’ont plus aucune réserve à part quelques rares exceptions pour se donner un semblant de neutralité. Trump n’est pas le bienvenu et le mot d’ordre semble de parler des dangers de sa présence à la Maison-Blanche et des promesses qu’il renie déjà ou qu’il ne pourra tenir.
Tous les coups sont permis. Et il semblerait que le clan Clinton n’ait pas dit son dernier mot. Si dans les apparences la transmission du pouvoir semble se mettre en place, avec la visite de Trump chez les Obama et les quelques indices que les républicains ont laissé couler quant à leur future cabinet, dans les coulisses le ton monte. Dans un article précédent –Clinton, Soros et Wikileaks– je présentais George Soros et son implication dans différentes révolutions colorées (Documentaire à ce sujet en fin d’article) comme en Ukraine et en Egypte. Il semble qu’il soit maintenant en voie de faire subir le même traitement aux Américains.
Plusieurs sources nous informent que le mouvement MoveOn.org, financé par George Soros, serait impliqué dans les manifestations post-électorales. Sous prétexte de se tenir debout contre le racisme, l’islamophobie, la xénophobie et la misogynie, les manifestants sont appelés à descendre dans la rue. En réalité, ce que les médias présentent comme une colère populaire spontanée sous des prétextes louables, est organisé (indirectement) par le clan Clinton. Frustrés d’avoir perdu l’élection, les supporters de Clinton, avec le financement de Soros à des organisations de terrain comme MoveOn.org, organisent des actions simultanées dans plusieurs grandes villes. L’article suivant est fort intéressant à ce propos:
http://thefreethoughtproject.com/soros-trump-protests-revolution/
La correspondance de John Podesta rendue publique par Wikileaks évoque un échange entre Soros et Clinton à propos du financement de MoveOn.org. De plus, selon RT les relation entre Trump et Soros ne serait plus ce qu’elles auraient déjà été à l’époque où Soros finançait la construction de la Trump International Hotel & Tower de Chicago à hauteur de 160 millions. De ce fait, Soros a investi 13 millions dans la campagne de Clinton. Déjà avant l’élection, Podesta mentionnait la nécessité de financer les organisations de terrain: «Les groupes qui opèrent sur le terrain ont besoin d’un financement conséquent. Des groupes comme MoveOn.org»¹
Un autre indice qui démontre la préméditation derrière ce mouvement est la synchronisation troublante entre les différents média du monde concernant le symbole qui sera adopté pour cette révolution. Comment expliquer qu’en 24 heures tous ces grandes plateformes aient produit un article sur l’épingle à couche empruntée des manifestants anti-Brexit? Une recherche rapide sur Google permet d’en trouver toute une liste:
La Presse
LCI.fr
fdesouche.com
Au dailymail (UK)
elle.com
Hollywoodlife.com
BBC.com
VOX.com
highsnobiety.com
usatoday.com
Etc…
Il s’agit peut-être d’une étrange coïncidence qu’autant de médias s’attardent simultanément au nouveau symbole de solidarité, mais c’est tout de même curieux, non? Lors des précédentes révolutions colorées, un symbole était toujours utilisé rapidement pour créer un mouvement de solidarité et en faire la promotion à faible coût: le rose pour la révolution des tulipes au Kirghizistan, le orange en Ukraine, le cèdre au Liban, le jaune aux Philippines, le jean au Bélarus et maintenant l’épingle à couche au États-Unis.
Poster un Commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.